COMPLÉMENT V – WUHAN-P4

14 avril 2020 Non Par Me Gaston Vogel

« Le Parisien » le 3 mai 2013, le même le 11 avril 2020, suivi d’un récapitulatif en 12 propositions

Le 3 mai 2013 « Le Parisien » reproduisant un article publié deux jours plus tôt par « Science » écrit sous le titre « Un virus inquiétant crée en Chine » :

« Des chercheurs chinois ont fabriqué un virus hybride de la grippe aviaire très dangereux. Des scientifiques tirent la sonnette d’alarme. »

Fait d’une gravité inouïe.

Fait avéré, que le plus puissant aéropage de scientifiques ne peut plus balayer d’un revers de la main.

Il est là devant nous dans toute sa brutale et honteuse nudité.

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Le 11 avril 2020 le même « Parisien », effrayé par le fait que de nombreux internautes avaient retrouvé l’article du 3 mai 2013, se précipite pour souligner qu’aucune information sérieuse ne relierait aujourd’hui l’expérience vécue en 2013 à l’épidémie du moment.

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« Le Parisien », bien que revisitant ce qu’il avait écrit sept ans plus tôt, ne s’en départit à aucun moment.

L’essentiel est acquis et échappe à toute contestation. 

À savoir :

  • Les Chinois ont démontré en 2013 qu’ils sont capables de créer, de fabriquer de virus. – Et de virus très dangereux.

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« Le Parisien » de 2013 avait reproduit l’image du nouveau virus issu de la recherche laborantine.

Il faut convenir que les ressemblances entre celui-là et le monstre d’aujourd’hui sont plus que troublantes.

C’est pour ainsi dire du pareil au même.

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Que s’était-il passé en 2013 ?

Une équipe de chercheurs de l’Université Agricole du Gansu avait donné naissance à un nouveau virus en mélangeant des gênes de H5N1 et de H1N1.

Conclusion :

L’impossible était devenu réalité. – C’est la « Science » elle-même qui l’a confirmé.

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Souvenons-nous des invectives lancées il y a quelques semaines par d’aucuns prétendus sages, qui avec un rire carnassier, s’amusaient à ravaler au rang de complot le simple soupçon d’admettre que l’homme soit à même de fabriquer du virus.

Parmi eux un prétendu historien qui n’avait jamais entendu parler de ce qui s’était passé en 2013 dans un laboratoire de Gansu.

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Gaston VOGEL

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