Un mot à l’incorrigible anonyme NW60 du forum RTL concernant le texte sur l’OMS

27 avril 2020 Non Par Me Gaston Vogel

Vous dites bêtement « ce qu’il fallait démontrer » – démontrer quoi ?

Votre ignorance ! Oui.

Là vous avez réussi.

J’ai lu pour vous Le Point du 23.04.2020 :

« L’OMS, soucieuse de ne pas embarrasser la Chine, a couvert ses dissimulations.

Elle a tardé à sonner l’alarme.

Elle a ostracisé la démocratie taïwanaise, dont la lutte contre la pandémie est pourtant exemplaire.

Elle n’a pas mené d’enquête impartiale sur l’origine du virus.

Dans cette crise, l’agence « santé » de l’ONU a failli à sa mission. »

Une page plus loin :

« Nous savons aujourd’hui que l’épidémie a été occultée pendant plus de deux mois par la Chine.

Ces deux mois étaient décisifs dans la propagation du virus. »

L’OMS, qui a couvert cet ignominieux silence, est en grande partie responsable de la pandémie, que cela vous plaie ou non ! 

Wikipedia sur Tedros Adhanom Ghebreyesus:

La chercheuse Valérie Niquet

Une pétition recueillant plus de 1 000 000 signatures sur Change.org demande sa démission de son poste de directeur général de l’OMS. Aux États-Unis, celle-ci est notamment réclamée par plusieurs sénateurs républicains, dont Ted Cruz et Marco Rubio, ainsi que par l’ancien conseiller à la sécurité nationale John Bolton. La sénatrice Martha McSally lui reproche également d’avoir salué la « transparence de la Chine lors de ses efforts de réponse aux coronavirus ». Pour la chercheuse Valérie Niquet, l’OMS a suivi pas à pas toutes les déclarations chinoises, les répétant comme un perroquet. L’OMS n’a pas joué son rôle mais c’est exactement ce que voulait Pékin. De la même manière, elle a refusé de redonner un siège d’observateur à Taïwan, ce qui était une exigence de la direction chinoise. Élu directeur de l’OMS grâce au soutien de la Chine, il a repris ses éléments de langage, félicité Pékin pour sa transparence alors qu’au même moment la Chine cachait des informations et faisait pression pour ne pas déclarer d’urgence internationale, et critiqué les États-Unis qui avaient fermé leurs frontières aux voyageurs venant de Chine. Plus généralement, Tedros Adhanom Ghebreyesus est accusé d’être un instrument de la stratégie chinoise d’infiltration des organisations onusiennes, via le soft power de la diplomatie humanitaire.

Isabelle Lasserre, « L’Organisation mondiale de la santé sous influence chinoise » [archive], Le Figaro, 10 avril 2020, p. 22-23.

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