Paris, Bruxelles, Istanbul du 24.03.2016

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24 mars 2016 Non Par Me Gaston Vogel

Partout à l’œuvre les mêmes fous, les mêmes écervelés qui, dans la fleur de l’âge, quand la vie bat dans les veines et ne veut rien savoir de la mort se font exploser pour la gloire d’une chimère.

Cela est un phénomène atroce, qui échappe à tout entendement.

Impossible de le prévenir, car personne ne peut envisager ne fût-ce qu’un instant, de telles cruelles éventualités.

Pour comprendre, il faut ouvrir le grimoire des religions.

Là se trouve la réponse à cette horreur.

Il suffit de lire la 3ème sourate du Coran à partir du verset 157, pour mesurer toute l’énergie destructrice qui s’y répand :

Un jeune privé de sens critique et de lucidité, borné à l’extrême, aveugle sur l’essentiel, éduqué dans la foi absolue de prétendus messages confiés à un prophète par un Dieu omniscient, omniprésent et aussi généreux que vengeur, ne recule devant rien, fût-ce le suicide, pour faire honneur à un Dieu dès qu’il le croit menacé ou humilié.

Citons le Coran dans la version allemande Goldmanns (Ullmann-Winter).

3ème sourate : 158. « Und wenn ihr auch für die Religion Allahs getötet werdet oder sonstwie dabei sterbt, so sind Gnade und Barmherzigkeit Allahs besser, als alle Schätze, die ihr sammelt; »

  1. « Wenn Allah euch beisteht, so kann euch niemand besiegen; »
  1. « Die, welche zu Hause blieben, sagten von ihren Brüdern: « Hätten sie uns gefolgt, so wären sie nicht getötet worden.» Antworte ihnen: « So wehrt doch einmal den Tod von euch selbst zurück, wenn ihr wahrheitsliebende Menschen seid ». »
  1. « Du darfst keineswegs die für Tot halten, welche für die Religion Allahs fielen; sie leben vielmehr bei ihrem Herrn, der ihnen reiche Gaben gibt. »
  1. « weder Furcht noch Trauer wird über sie kommen. »

Il faut se mettre dans la peau d’un individu fruste, non évolué, obtus mais profondément croyant pour comprendre jusqu’où la religion peut abuser de l’esprit et du cœur de ses ouailles.

On néglige souvent ces aspects très simples mais très éloquents et ravalés au niveau de simples symboles par les religieux en mal d’explications.

 

Me Gaston Vogel.

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